mercredi 6 février 2008

Derniers jours





Comme chaque matin, petits et grands disent joyeusement : Madame Anne-Lyne, comment ça va ? Je vais aussi quitter les plus âgées qui m'ont toujours donné leur plus beau sourire. Je ne sentirai plus les ambiances de marchés si typiques, les rizières qui sont prêtes pour la moisson. Je vais quitter les amis que je me suis faits ici, sachant qu'eux ne pourront jamais venir en Europe, faute d'argent. Mais une chose restera sur mon coeur, une expérience que je ne pourrai jamais oublier.

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